I'm lost in the world, I'm down for the time.

**MESSAGES** : 13 Date d'inscription : 10/11/2012

Ariel Fletcher Orson

les hommes craignent la mort par la même raison que les enfants ont peur dans les ténèbres. (fr. bacon)

Crissements de pneus.
Crash.
Cris.

(…)

“Ariel ? Ariel, qu’est-ce que tu fais ? Reste pas planté là. Orson ! Ariel putain !”
“Laisse tomber. Laisse-le tranquille. C'est vraiment pas le moment.”
“Mais...”
“Stef, s'il te plait.”

(…)

Susanna Gladys Orson
née Jackson
(07.06.1961 – 16.09.2003)

Des fleurs bleues, des fleurs roses, des fleurs blanches, des fleurs tristes, beaucoup de fleurs, beaucoup de monde. Il regarde autour de lui. Il ne reconnait personne. Tout ce qu’il voit c’est une masse, une masse noire, uniforme, homogène, humide aussi, très humide. Lui ne verse aucune larme. Il ne comprend pas bien pourquoi d’ailleurs. Il est triste pourtant. Dévasté. C’est sa mère qu’on met sous terre, pas la vielle pie du troisième, sa mère. Il faudrait qu’il pleure. Au moins dans son coin, quand il est seul. Mais non. Il y a trop de larmes autour de lui. Il faut croire que ça bloque les siennes.
Le curé s’arrête de parler et se tourne vers lui ; c’est l’heure du petit discours. Il ne bouge pas. Il ne dit rien. Il ne peut pas faire ça. Non. Non, ça, il ne peut vraiment pas. Il ne pleure peut-être pas mais il n’est pas en état. A l’intérieur, c’est comme Nagasaki après la bombe atomique, il ne reste plus rien. Impossible de parler, de bouger, de fonctionner. Il ne sait même pas comment il est arrivé jusqu’ici. Ce n’est plus un homme, c’est un automate. Le choc n’est pas encore passé. C’est peut-être pour ça qu’il ne pleure pas, l’idée n’est pas encore assimilée. Brooklyn sans Susanna Orson, il ne sait pas encore ce que c’est. La vie sans Susanna Orson, encore moins. D’autres se chargent de parler à sa place. Ils comprennent. Ils se disent pauvre gosse, à peine majeur et déjà orphelin, c’est pas une vie ça, c’est pas une vie. Ça empeste la pitié dans ce cimetière. Tout ce qu’il veut c’est partir. Il n’en peut plus de ce cimetière. Il n’en peut plus. Il y a trop de monde ici. Il a trop perdu. La mort l’étouffe, le piétine. Elle s’empare de tout. De tous. D’abord son père, puis Zoïa, puis Jonah, puis Tom, maintenant sa mère. Il se demande s’il sera le prochain. Et si ce n’est pas lui, il se demande qui sera le prochain. Il ne veut pas mourir. Il ne veut pas que les gens meurent.
La mortalité, c’est un concept auquel il n’a jamais vraiment adhéré.

(...)

“Il va encore aller au cimetière, pas vrai.”
“C'est aujourd'hui, alors sûrement.”
“Il est toujours bizarre quand il revient du cimetière... Ça fait sept ans maintenant.”
“C'était sa mère.”
“Il a jamais été comme ça pour son père.”
“Il avait cinq ans quand son père est mort. Et Susanna et lui, c'était bien plus qu'une relation entre une mère et son fils. C'est bien plus que la relation que t'as avec ta mère. Bien plus. Tu le sais.”
“Merde.”

(...)

Sept ans ont passé. Sept ans sans Susanna. Sept ans orphelin. Il s'y est habitué. Il s'y est résigné. Après tout, c'est comme Stef a dit : la vie continue, bordel. Elle a beaucoup de tact Stef. Vraiment. C'est ce qu'il préfère chez elle. C'est ce qu'il ne supporte pas chez elle. Allongé sur son canapé, il fixe le plafond. Ça fait sept ans aujourd'hui. Sept foutues années. Il n'a toujours pas pleuré. Il faut qu'il aille au cimetière aujourd'hui. Ce foutu cimetière. Il faut qu'il aille mettre des fleurs sur la pierre et qu'il essaye de pleurer. Qu'il lâche tout une bonne fois pour toutes. Il essaye chaque année et chaque année c'est la même chose : il arrive, il pose les fleurs, il regarde autour de lui, il regarde la pierre, il ouvre la bouche, la referme, et puis il s'en va. Pas de larmes. Pas de longues conversations dans le vide avec une tombe. Il hait ce cimetière alors il s'échappe le plus rapidement possible. Et puis qu'est-ce qu'il lui a pris de traverser au feu rouge ? Elle n'était pas daltonienne, si ? Elle voyait le rouge en rouge, pas vrai ? Pourquoi ne pouvait-elle pas juste rester en vie comme toutes les mères dignes de ce nom ? Pourquoi ne pouvait-elle pas attendre qu'il soit ridé lui aussi, avant de lui faire un coup pareil ? Comme s'il n'avait pas assez de pertes à gérer comme ça. Il soupire. Il faut qu'il aille au cimetière aujourd'hui. Foutu cimetière.

i'm falling apart
i'm barely breathing
with a broken heart
that's still beating

SURNOM(S):

“Ariel, hé, Ariel, ma Petite Sirène, ma mignonne, ouhou!” Inspiration, expiration. Dans sa tête, plusieurs scénarios, tous incluant sang et insanités. Il passe son chemin. Pas qu'il ne soit pas capable de mettre en œuvre les dits scénarios, non, non ça ce n'est vraiment pas un problème, mais il a vu les flics au coin la rue — manquerait plus qu'il se fasse embarquer. Alors il passe juste son chemin, maudissant ce foutu Walt Disney et sa foutue Petite Sirène. Il traverse la rue, les flics le regarde passer et l'un d'eux hoche la tête. “Salut Orson.” Il hoche la tête aussi, ne s'arrête pas, ne répond pas, même si à l'intérieur, il se détend. Oui, voilà, son nom c'est Orson. C'est très bien Orson. Contentez-vous d'Orson. Les flics ne seront pas toujours au coin de la rue.

ÂGE, DATE ET LIEU DE NAISSANCE:

“T'es né dans le Bronx?” “Ouais, le Bronx. Le sept décembre. Dans une voiture en chemin vers l'hôpital.” Il sourit, il a toujours trouvé ça drôle. “Quelle année?” “1984. Ouais, j'aurais vingt-neuf ans d'ici la fin de l'année. (...) Non, t'es pas invité à la fête.” Y aura pas de fête.

ORIGINES ET NATIONALITE:

Assis sur la terrasse du bar habituel, il regarde les gens se presser dans la rue en attendant son café. Il aime Brooklyn le matin. Même avant son café. C'est chez lui ici. Ça l'a toujours été. Il y aurait du sang irlandais quelque part du côté de sa mère, loin, très loin. Mais lui, il n'en a rien à faire. Ariel Orson est américain. Un new-yorkais des pieds à la tête. Un vrai.

ACTIVITÉ(S):

Accoudé à la rambarde au balcon de son appartement, ses yeux dérivent vers le ciel. De là où il est il ne voit aucune étoile. On ne voit jamais d'étoiles à Brooklyn. Il se rappelle que petit, tout petit, il avait ce rêve naïf, ce rêve d'enfant : il voulait devenir astronaute. Les autres disaient footballeur, pilote de voiture de course, il disait astronaute. Les fusées, la lune, les extraterrestres, il en dessinait un peu partout, il y pensait souvent. Un faible sourire s'accroche à ses lèvres. Un sourire amer. Un sourire d'adulte. Qu'est-ce qu'il dirait, petit Ariel, s'il le voyait maintenant ? Vingt-neuf ans, n'ayant jamais mis les pieds sur la Lune, n'ayant jamais mis les pieds hors des Etats-Unis, chauffeur de taxi. Qu'est-ce qu'il dirait ? Son sourire s'évapore peu à peu et pendant un bref instant, il regrette. Est-ce que c'est ça, la vie ? Tout foutre en l'air, puis en mourir lentement, à petit feu ?

ORIENTATION SEXUELLE:

“Je t'offre un verre?” La voix est rauque, trop rauque. Il lève les yeux et le regrette immédiatement. Pourquoi - pourquoi - attire-t-il tous les gays de cette ville ? Soupir. Un pli apparait sur son front. Toutes ces conneries vont finir par avoir sa peau. “Non.” (Va te faire voir, pars, fous-moi la paix, dégage, pourquoi moi ? mais pourquoi moi ?) Le type comprend le message. Ariel scrute la pièce puis pousse un nouveau soupir. Des filles, des filles partout, des putes, des salopes, mais quelques filles bien aussi, quelques filles intéressantes, des filles attirantes, des filles qui valent le coup, alors pourquoi faut-il toujours qu'il attire des gays ? Pourquoi ?

ETAT CIVIL:

“Eh, Orson, Orson ! Je suis là. Tu m'as pas entendue ? J'avais une question à te poser. (...) T'as une copine ?” Elle a dix-sept ans. Dix-sept ans. Il en a vingt-neuf. Elle l'a pris pour qui, pour quoi ? Un foutu pédophile ? Il ferme les yeux. “Non. Je suis célibataire. Libre comme l'air. Et non, je ne compte pas changer de statut dans l'immédiat. D'autres questions ? (...) Non ? Alors retourne à l'école, tu veux ? Vraiment.” (Vingt-neuf moins dix-sept font douze, petite. Douze.) Ton las, transpirant d'indifférence. Ça devrait faire l'affaire. Elle ouvre la bouche, la referme, la rouvre, on a coupé le son. Finalement, elle se détourne sans rien ajouter, visiblement choquée. Elle s'en remettra.

SIGNE DISTINCTIF:

Un chapeau noir toujours sur sa tête ou dans ses mains ou quelque part dans le coin. Une gourmette en or au poignet, gravée "Saul". Un briquet rouge bon-marché qui ne fonctionne plus toujours dans l'une de ses poches. Pas de tatouage, pas de piercing, pas de grandes cicatrices. Juste de la peau et des poils - un peu de graisse aussi, mais pas trop, vraiment.

HORS JEU

PSEUDO:

Firetrap.

AVATAR:

Ben Whishaw.

Sometimes I feel so — I don’t know — lonely. The kind of helpless feeling when everything you’re used to has been ripped away. Like there’s no more gravity, and I’m left to drift in outer space with no idea where I’m going.

“Ouais, allô, Terry ? Qu'est-ce qu'il y a ?” “Salut Orson. J’ai une cliente pour toi. Elle est à l’aéroport.” “Lequel ?” “LaGuardia.” “Pourquoi t’y vas pas ?” “Faut que je rentre. Y a un problème avec mon fils.” “Jake ?” “Non, Nate.” “Ok, LaGuardia t’as dit ?” “Ouais. Son avion atterrit dans une demi-heure. Son nom c’est Kennen. K-E-deux N-E-N. C’est bon ?” “Ça marche. File. Je croise les doigts pour toi Terry.” “Ça veut dire quoi ça, tu croises les doigts pour moi ?” “Pour que ton gosse ne te dise pas qu’il a mis une fille en cloque, ou qu’il a renversé quelqu’un, ou qu’il a des dettes de jeux, ou qu’il…” “La ferme. C’est bon. J’ai saisi l’idée. T'en as pas marre de te foutre de ma gueule vingt-quatre sur vingt-quatre ? Tu verras quand t’auras des gosses.” “Si j’en ai, Terry, si j’en ai.” “Qu’est-ce que tu racontes encore espèce de petit mer-” “Bye, Terry. Je te vois demain. Merci pour la cliente.” Un sourire en coin, il raccrocha au nez de Terry. Ce bon vieux Terry. La conversation repassa dans sa tête rapidement. Quand il aura des gosses... C'est pas demain la veille, pensa-t-il. Des gosses, et puis quoi encore ? Il se souvenait encore de cette fois où l'une de ses ex lui avait annoncé de but en blanc qu'elle était enceinte. Elle lui avait même donné les cinq tests de grossesse qu'elle avait fait dans la matinée, tous positifs, au cas où il ne la croirait pas. Il avait dix-neuf ans à l'époque ; et la simple idée d'un bébé ne l'enchantait pas plus qu'au moment présent. Elle ne l'avait même pas laissé ouvrir la bouche. Je vais me faire avorter, il faut que tu m'aides pour l'argent, elle avait dit. Au fond, ça l'arrangeait bien. Prendre une décision lui donnait des sueurs froides. Dans ce genre de cas, tu dis "avorte" et tu passes pour un salaud immature incapable d'assumer les conséquences de ses actes ; ou tu dis "gardons-le", tu souris, tu deviens un héros, même si au fond, ce bébé, c'est le pire cauchemar de toute ta vie - tu n'as même pas vingt ans, bordel. Il lui avait donné ce qu'il lui manquait. Elle était partie au Planning Familial pour avaler sa pilule, l'affaire était réglée. Elle l'avait quitté après ça. Cette histoire d'avortement, même si elle prétendait le contraire, ça l'avait totalement chamboulée. L'avoir à ses côtés, c'était le dernier de ses souhaits et il avait respecté ça. Sans faire de scène, il s'était retiré de sa vie. L'incident ne s'était plus jamais reproduit avec aucune autre. Le coup des cinq tests de grossesse l'avait pour ainsi dire traumatisé. Pas de gosse, Terry, pas maintenant en tout cas. Pas maintenant. Il regarda par la vitre et contempla un moment le ciel new-yorkais, il ressortit son portable : 19h45. Quinze minutes avant l'arrivée de la demoiselle. Il ferait mieux de se mettre en route. Distraitement, il attacha sa ceinture et démarra son taxi. Direction LaGuardia.

(...)

Elle était assise sur la banquette arrière, sa tête appuyée contre la vitre de la portière, ses yeux suivant les bâtiments en mouvement. “Le Bronx,” avait-elle répondu lorsqu’il avait demandé où aller. “Où dans le Bronx ?” “Peu importe, juste le Bronx. Je me débrouillerais.” Il s’était retenu de rouler des yeux. Certains clients faisaient ça parfois, ils répondaient ‘où vous voulez’, ‘peu importe’ ou encore ‘loin d’ici’. Comme dans les films. Il détestait ça. “Soyez plus précise. Je peux pas vous laisser au milieu du Bronx comme ça, en soirée. C’est dangereux. Dite-moi juste où vous voulez aller.” Ils s’étaient fixés à travers le rétroviseur un moment avant qu’elle ne finisse par céder, comprenant sûrement que le taxi ne bougerait pas autrement. “Laissez-moi à Van Cortlandt Park,” avait-elle murmuré après un léger soupir. Van Cortland Park, ça faisait un bail qu’il n’était pas allé par là-bas, pensait-il alors qu'il démarrait sans rien ajouter. Après quelques minutes de route, ne pouvant s'en empêcher, il s’était mis à la détailler. Mademoiselle Kennen était plus jeune que lui ; vingt-cinq ans, tout au plus. Brune, mince, plutôt jolie, pas très bavarde. Elle ne ressemblait pas à une fille du Bronx. De Manhattan, oui, sans soucis. Mais le Bronx ? Non. Elle était trop bien habillée. Trop bien tout court. Elle titillait sa curiosité naturelle. Celle qu'il refusait d'admettre. Dans sa tête, la voix de Stef résonnait : tu peux pas t'en empêcher de toute façon, t'es comme ça, un petit fouineur amateur. Si elle se rendait compte de sa curiosité, elle n'en laissait rien paraître. Peut-être était-elle trop fatiguée pour se rendre compte de quoi que ce soit. Elle sortait d’un avion après tout. Elle n'allait pas lui parler et il sentait qu'engager la conversation ne servirait à rien. Alors il se contentait de rouler. Gardant pour lui ses questions. Son intérêt. Déranger les clients, ce n'est pas bon pour les affaires.

(encours)

**MESSAGES** : 298 Date d'inscription : 27/10/2012

BEN WHISHAW. I'm lost in the world, I'm down for the time. 3462854838

Excellent excellent choix, j'adhère totalement, j'ai très très hâte de voir ce que tu vas faire de lui. I'm lost in the world, I'm down for the time. 2124793060

I'm lost in the world, I'm down for the time. 2124793060

Bienvenue parmi nous. I love you

**MESSAGES** : 13 Date d'inscription : 10/11/2012

Ben est génial, hein. Il est en haut l'affiche en ce moment, avec Skyfall et tout. I'm lost in the world, I'm down for the time. 2763270137

Je suis contente qu'il plaise autant. Enfin bref, merci beaucoup. I'm lost in the world, I'm down for the time. 4238535738

**MESSAGES** : 103 Date d'inscription : 02/11/2012

aaah, j'me demandais où est-ce que je l'avais vu Wink

Bienvenue ici, j'adore le début de ta fiche, hâte d'en savoir plus I love you

**MESSAGES** : 13 Date d'inscription : 10/11/2012

Avec la barbe on ne le reconnait pas trop c'est vrai. Mais oui oui, c'est bien Q.
Par contre, vous allez finir par me mettre la pression là. I'm lost in the world, I'm down for the time. 2255881067

I'm lost in the world, I'm down for the time. 2255881067

Mais merci quand même, même si ça n'a rien de vraiment exceptionnel pour l'instant (notez que le 'pour l'instant' ne veut pas dire que ça va devenir exceptionnel à un moment ou un autre - BREF

).
(Le prénom de ton perso me fait rêver. Jass. Va savoir pourquoi, je le trouve simplement trop cool. I'm lost in the world, I'm down for the time. 1090400060

)

**MESSAGES** : 73 Date d'inscription : 01/11/2012

l'avatar est trop cool, et puis j'aime beaucoup le pseudo et le début bienvenue

Bienvenue ^^

**MESSAGES** : 13 Date d'inscription : 10/11/2012

Merci tous les deux. I'm lost in the world, I'm down for the time. 3621940498

**MESSAGES** : 41 Date d'inscription : 10/11/2012

j'aime beaucoup le prénom, bienvenue. I love you

**MESSAGES** : 13 Date d'inscription : 10/11/2012

Et j'aime beaucoup ton PV. Je ne l'aurais pas joué, mais je trouve que Siam est un personnage intéressant. I love you

Merci.

**MESSAGES** : 58 Date d'inscription : 05/11/2012

I'm lost in the world, I'm down for the time. 4205929361

**MESSAGES** : 42 Date d'inscription : 05/11/2012

bienvenue sur BL I love you

**MESSAGES** : 13 Date d'inscription : 10/11/2012

Guh, Teresa. I'm lost in the world, I'm down for the time. 4205929361

Je la connaissais pas, mais wooouh. C'est une bombe. J'adore le gif, avec son sourire. I'm lost in the world, I'm down for the time. 3462854838

Merci à vous deux. I'm lost in the world, I'm down for the time. 3621940498

**MESSAGES** : 101 Date d'inscription : 30/10/2012

Bienvenue sur BL, très bon choix d'avatar.

**MESSAGES** : 13 Date d'inscription : 10/11/2012

Gracias.

**MESSAGES** : 13 Date d'inscription : 06/11/2012

WHISHAAAAAAW. I'm lost in the world, I'm down for the time. 2124793060

I'm lost in the world, I'm down for the time. 1562621866

(voilà, tout est dit).
C'est cool qu'il soit pris en ce moment ce mec, sur les forums rpg. Merci Skyfall. I'm lost in the world, I'm down for the time. 646978321

J'ai hâte de voir ta fiche (une pression en plus, une !) et je quémande déjà un lien de la mort qui tue ** (Parce que Craig & Whishaw quoi. I'm lost in the world, I'm down for the time. 1532459996

I'm lost in the world, I'm down for the time. 1532459996

) En plus ton avatar est xecrvhbjugbh *___*
Bref. Oelcome. I love you

**MESSAGES** : 13 Date d'inscription : 10/11/2012

Quand tu veux pour le lien Bond. I'm lost in the world, I'm down for the time. 1411664268

Je veux dire, comment on peut refuser un lien avec Daniel Craig de toute façon ?

Bon. Je pense en avoir fini avec la première partie. Ça n'a pas du tout donné ce que je pensais. Je sais pas encore si ça me plait ou pas. Mais non, je vous assure, mon Ariel n'est pas dépressif. C'est à cause de la citation que j'ai choisi, ça met en valeur son côté âme blessée. I'm lost in the world, I'm down for the time. 3271916155

I'm lost in the world, I'm down for the time. 3271916155

Bref, envoyez la suite, qu'on en finisse !

**MESSAGES** : 65 Date d'inscription : 31/10/2012

bienvenue
punaise ton type, je le vois partout en ce moment, genre c'est fou

**MESSAGES** : 101 Date d'inscription : 30/10/2012

J'aime déjà le personnage, voilà pour toi.

Citation :: Une bande de gros bras s'en prennent à toi dans un quartier malfamé. « Et alors, ta petite maman est pas là pour te défendre ? » qu'ils raillent entre eux sans savoir que la tienne n'est plus de ce monde.

Citation :: Alors que tu prends une jeune femme dans ton taxi pour la conduire à l'autre bout de la ville, en sortant du véhicule elle laisse tomber des dossiers, où en les ramassant et en voulant les lui rendre, tu lis le prénom Susanna. C'est son prénom.

**MESSAGES** : 13 Date d'inscription : 10/11/2012

Normal, tout le monde le connaît grâce à son rôle dans Skyfall. Jouer dans un Bond c'est toujours bon pour la popularité. I'm lost in the world, I'm down for the time. 303479109

I'm lost in the world, I'm down for the time. 303479109

Merci Mack ! Contente qu'il te plaise. Et tes situations sont géniales. Autant l'une que l'autre. I'm lost in the world, I'm down for the time. 3462854838